Ad uno ad uno... spietatamente
1968
Rafael Romero Marchent
Avec: Peter Lee Lawrence, William Bogart, Eduardo Fajardo
Beaucoup moins bon que Deux croix pour un implacable du même réalisateur, on peine sérieusement à trouver des qualités à ce film, autant qu'on peine à lui trouver de réels défauts. L'ensemble n'est pas trop mal foutu, mais l'alchimie ne produit pas l'or dans les yeux attendu. Musique insignifiante, personnages non attachants, scénario peu rigoureux, absence de moments forts, Un par un sans pitié n'a finalement de bon que son titre. On a bien sûr plaisir à voir Peter Lee Lawrence, assez rare dans le genre, et Eduardo Fajardo, toujours un brin vicieux mais affreusement mal doublé, mais leur présence ne suffit pas à allumer la moindre étincelle. Le DVD M6 vidéo a une qualité d'image très bonne, ce qui donne un curieux effet quand on a visionné tant de vieux films muets et tremblotants dans les semaines précédentes. On crie à la supercherie, une image aussi nette, aussi détaillée pour un résultat aussi piètre? C'est presque du gâchis! Belle jaquette stylisée de Arthur de Pins, dont l'absence de signes distinctifs fait douter du fait que celui-ci ait vu le film, au contraire de ses autres collègues fluide glaciens. Et toujours cet insultant logo "Italian Flavour".
1968
Rafael Romero Marchent
Avec: Peter Lee Lawrence, William Bogart, Eduardo Fajardo
Beaucoup moins bon que Deux croix pour un implacable du même réalisateur, on peine sérieusement à trouver des qualités à ce film, autant qu'on peine à lui trouver de réels défauts. L'ensemble n'est pas trop mal foutu, mais l'alchimie ne produit pas l'or dans les yeux attendu. Musique insignifiante, personnages non attachants, scénario peu rigoureux, absence de moments forts, Un par un sans pitié n'a finalement de bon que son titre. On a bien sûr plaisir à voir Peter Lee Lawrence, assez rare dans le genre, et Eduardo Fajardo, toujours un brin vicieux mais affreusement mal doublé, mais leur présence ne suffit pas à allumer la moindre étincelle. Le DVD M6 vidéo a une qualité d'image très bonne, ce qui donne un curieux effet quand on a visionné tant de vieux films muets et tremblotants dans les semaines précédentes. On crie à la supercherie, une image aussi nette, aussi détaillée pour un résultat aussi piètre? C'est presque du gâchis! Belle jaquette stylisée de Arthur de Pins, dont l'absence de signes distinctifs fait douter du fait que celui-ci ait vu le film, au contraire de ses autres collègues fluide glaciens. Et toujours cet insultant logo "Italian Flavour".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire