The Courage of Collins
The Courage of Collins
1927
Ray Taylor
Avec : Edmund Cobb, Rose Foster
Edmund Cobb est un acteur relativement peu connu qui fit de très nombreuses apparitions dans les westerns des années trente à cinquante comme bad guy ou comme personnage secondaire. Au temps du muet, il tourna un certain nombre de westerns en tant que jeune premier, dont plusieurs centrés sur la Police montée Canadienne. The Courage of Collins en fait partie. Edmund Cobb est un officier undercover qui va aider une jeune femme et son frère à se défaire d’un gang molasson décidé à les expulser de leur ranch. La suite des événements n’a pas grand intérêt, le film dure vingt minutes et tout est emballé et pesé rapidement à coup de bagarres sauvages. Edmund Cobb ne fait pas vraiment d’étincelles, le méchant non plus. A vrai dire, le seul souvenir que je garderai de ce film, c’est le vent qui fait onduler légèrement la robe de Rose Foster sur le porche de son Ranch, et la gueule du frère, tête brûlée impulsive qui galope comme une fusée pour aller chercher du secours. Peut-être aussi la bizarre tenue de jockey du héros!!! Comme la plupart des westerns muets que j’ai pu voir, on est surprit par les intertitres qui n’hésitent jamais à utiliser des expressions et une orthographe argotiques pour serrer au plus près la saveur de l’anglais de l’Ouest.
J’ai trois autres films muets de Cobb dans ma musette, on verra bien si tout ça est du même tonneau, je vous tiens au courant pals…
1927
Ray Taylor
Avec : Edmund Cobb, Rose Foster
Edmund Cobb est un acteur relativement peu connu qui fit de très nombreuses apparitions dans les westerns des années trente à cinquante comme bad guy ou comme personnage secondaire. Au temps du muet, il tourna un certain nombre de westerns en tant que jeune premier, dont plusieurs centrés sur la Police montée Canadienne. The Courage of Collins en fait partie. Edmund Cobb est un officier undercover qui va aider une jeune femme et son frère à se défaire d’un gang molasson décidé à les expulser de leur ranch. La suite des événements n’a pas grand intérêt, le film dure vingt minutes et tout est emballé et pesé rapidement à coup de bagarres sauvages. Edmund Cobb ne fait pas vraiment d’étincelles, le méchant non plus. A vrai dire, le seul souvenir que je garderai de ce film, c’est le vent qui fait onduler légèrement la robe de Rose Foster sur le porche de son Ranch, et la gueule du frère, tête brûlée impulsive qui galope comme une fusée pour aller chercher du secours. Peut-être aussi la bizarre tenue de jockey du héros!!! Comme la plupart des westerns muets que j’ai pu voir, on est surprit par les intertitres qui n’hésitent jamais à utiliser des expressions et une orthographe argotiques pour serrer au plus près la saveur de l’anglais de l’Ouest.
J’ai trois autres films muets de Cobb dans ma musette, on verra bien si tout ça est du même tonneau, je vous tiens au courant pals…
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